LERON THOMAS + BALOJI & L'ORCHESTRE DE LA KATUBA
LERON THOMAS
Etats-Unis, France Inédit

Brouilleur de pistes absolu, le trompettiste texan invente une néo-funky-soul étincelante.

Si son nom a d’abord circulé dans la galaxie des jazzmen qui swingent autrement, Leron Thomas a vite pros tout le monde à contre-pied. Jouant à repousser les frontières entre jazz, funk, rap, soul et rock, il s’est tracé sa propre ligne esthétique. Pour preuve, son premier album enregistré entre New York et Paris, avec l’équipe du producteur Guts, à mille lieues des projets en pilote automatique. Le trompettiste et chanteur y pratique les grands écarts, loin des sentiers balisés. La meilleure façon de s’inscrire dans le sillon d’une musique qui fait rimer diversité et liberté, et qui fait danser.

LERON THOMAS trompette, chant, FLORIAN PELLISSIER fender rhodes, GRÉGOIRE FAUQUE guitare, SYLVAIN RUDY basse, THIBAUT BRANDALISE batterie
///Photo Leron Thomas(c)Daily LAUREL

LERON THOMAS + BALOJI & L'ORCHESTRE DE LA KATUBA
BALOJI & L'ORCHESTRE DE LA KATUBA
Belgique, Cameroun, Congo

Le Congolais grandi à Liège crée la collision entre rumba, rap et boombap, et s’impose en chef-sorcier des nouveaux sons africains

Depuis deux albums, le poète beatmaker a entamé un fascinant retour aux sources, tendance afro-futuriste. A l’image de son identité composite, de son univers singulier (regardez ses clips) et de ses talents multiples. Porté par son Orchestre de la Katuba -avec Dizzy Mandkeku, légende de la guitare congolaise- qui s’ajuste sur tous les rythmes, Baloji bâtit une bande-son trépidante qui s’inscrit sur le fertile terreau de ses origines et s’écrit au présent d’une réalité minée. Son nouvel opus 64 Bits & Malachite ne fait-il pas référence au processeur et au minerai que l’on trouve au Katanga, le pays du cuivre ?

BALOJI chant, CHARLOTTE ADIGÉRY choeurs, DIZZY MANDJEKU guitare, PHILIPPE EKOKA claviers, DIDIER LIKENG basse, SAIDOU ILBOUDO batterie
///Photos Baloji(c)Smart Object

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