SARAH MURCIA « MY MOTHER IS A FISH »
SARAH MURCIA « MY MOTHER IS A FISH » d’après As I lay dying de William Faulkner
France, États-Unis

Concert filmé au Nouveau Théâtre de Montreuil le 1er avril 2021, dans le cadre du 38ème Festival Banlieues Bleues, 80 min., réal. Gilles Le Mao, prod. La Huit, coprod. Banlieues Bleues, vià93

Après les Sex Pistols, la contrebassiste libertaire s’attaque à un autre genre furieux de monument : William Faulkner.

Au commencement était une passion. Celle de Sarah Murcia pour les romans de William Faulkner. Cinq ans après avoir divagué autour des Sex Pistols avec sa garde rapprochée (son quartet Caroline augmenté du chanteur-danseur Mark Tompkins et du pianiste Benoît Delbecq), la contrebassiste-chanteuse-compositrice continue donc d’explorer le monde du bruit et de la fureur. Pour My Mother Is A Fish, c’est dans Tandis que j’agonise, le chef-d’œuvre polyphonique de Faulkner, que son sextet sans tabous a puisé, pour bâtir des chansons singulières, faussement foutraques et vraiment élastiques.

Sarah Murcia voix, contrebasse, basse, Mark Tompkins voix, danse, Olivier Py saxophone, Gilles Coronado guitare, Benoît Delbecq piano, piano préparé, électronique, Franck Vaillant batterie, Fanny de Chaillé mise en scène, Luc Jenny lumière

Production Jazz Musiques Productions / Coproduction Espace Malraux – scène nationale de Chambéry, Théâtre Molière – scène nationale de Sète et du Bassin de Thau, MCB°– scène nationale de Bourges. Avec le soutien à la résidence de La Dynamo de Banlieues Bleues et du Théâtre de Lorient – Centre Dramatique National. / Avec l’aide à l’écriture d’une œuvre musicale originale du ministère de la Culture, l’aide au projet de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – ministère de la Culture, et avec le soutien de l’Adami, de la Spedidam et du CNV. / © Copyright 2020, Faulkner Literary Rights, LLC. All rights reserved.
Used with permission, The Literary Estate of William Faulkner, Lee Caplin, Executor” pour les textes originaux. © Copyright Editions Gallimard pour les textes de Tandis que j’agonise, dans la traduction de Maurice Edgar Coindreau

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