Ymelda vit dans un monde peuplé d’esprits invisibles qui habitent les grands arbres et les sources de la Caraïbe. Chanteuse née en Haïti, elle a été baptisée dans la religion vaudou, avant d’émigrer en Martinique puis à Paris. 35 ans plus tard, elle entame une création musicale et un voyage initiatique au Togo, en quête de ses racines mystiques…

Film documentaire écrit et réalisé par Laure Martin Hernandez, 53 minutes, France, 2021

https://www.youtube.com/watch?v=QSPSupAcDwo

Table ronde avec Jean-Marie Dulix Théodat (maître de conférence), Florence Alexis (auteure), Jude Joseph (conteur), Nathania Pericles (plasticienne), sous la modération de Roseline Dieudonne, Présidence Maison d’Haïti, suivie d’une séance du conteur haïtien Jude Joseph

en partenariat avec le réseau Villes des Musiques du Monde et le festival Haïti Monde

Le chorégraphe togolais IVALMOK a conçu une performance basée sur la recherche de soi dans une société où les réseaux sociaux et les nouvelles formes d’expressions hybrides croissent à toute vitesse

La percussionniste et danseuse Nerlande Bazelais fait vibrer lBanda, Maskawon, Zareyen, les rythmes des esprits guédés du vodou d’Haïti et les danses de Grann Brijit, l’esprit féminin qui occupe les cimetières.

La plus martiniquaise des chanteuses d’Haïti a débuté sa carrière dans le zouk et le compas avant de renouer avec ses racines musicales haïtiennes, à travers les rythmes traditionnels et les chants sacrés, profanes ou populaires, mêlés à des sonorités plus moderne, paraphrasant l’écrivaine haïtienne Edwige Danticat qui disait que « la force d’Haïti c’est l’immensité de sa musique ».

Ymelda Marie-Louise chant, Ghassen Fendri guitare, Christophe Borilla basse, Lucien Jean Mary percussions, Cedric Brassan batterie